Bordeaux
Vinexpo s’est mis à l’ère numérique afin d’accueillir les community manager de tous les horizons. Avec des conférences et un coin détente, la Digizone séduit les amateurs de vin….et des nouvelles technologies.
Le salon de la Digizone, présent au fond du Hall 1 de la Vinexpo est le lieu idéal pour les blogueurs, community managers ou toutes les personnes qui travaillent avec les producteurs de vin. Accessible à tout le monde, elle offre avec ses deux espaces, un pour les conférences et l’autre pour l’accueil des « blogueurs », un confort de travail optimal. Les intervenants, qui tiennent les conférences, se sont succédés sans arrêt tout au long du salon Vinexpo.
Transmettre et écouter
Mais plus qu’un simple espace, la Digizone est également un lieu de transmission du savoir. Comme l’explique Louise Hurren, responsable de la Digizone « On est à l’écoute des communicants. On est aussi à leur service. On compte sur eux pour transmettre leur savoir mais on doit aussi les aider. Par exemple avec un moyen tout simple : on a mis en prévision pour les gens qui n’en auraient pas des adaptateurs ou des chargeurs. » Les utilisateurs de cet espace sont conquis comme le montre Nathalie de Nathventures, « je suis là tous les matins pour chercher les programmations, recharger le téléphone la tablette. (…) c’est aussi un point de rendez-vous de tous les blogueurs pour se rejoindre pour les offs » par exemple.
Une expérience concluante
Cette première édition de la Digizone constituait un premier test pour déterminer si ce concept avait sa place à Vinexpo, à long terme. Et le moins qu’on puisse dire c’est que c’est le cas. En effet, grâce à cet espace, des badges « blogueurs » ont pu être délivrés durant Vinexpo à ceux qui écrivaient, pour leur plaisir ou non, sur des blogs. Plus de 400 personnes ont effectué cette demande et 390 badges ont été délivrés. Pour Louise Hurren, cet espace va dans le sens du « renouveau du salon avec l’arrivée de Guillaume Deglise » à la tête de la Vinexpo qui a créé un véritable appel d’air.
Ecrit par Aurélie Franc