Cet établissement situé rue Galilée, géré par la Croix Rouge, accueille des personnes vieillissantes, isolées en situation de précarité, en perte d’autonomie et de stabilité. Ces personnes peuvent ainsi accéder à un logement sans limitation de durée dans un environnement convivial.
Les résidents sont impliqués dans l’organisation et la mise en place des différentes activités. Les animations proposées permettent à chacun de se créer des habitudes et des repères, éléments nécessaires à une resocialisation.

Pierre Lothaire pendant son discours avec la députée de la 1ère circonscription Sandrine Doucet au premier plan

Le maire adjoint de Caudéran, Pierre Lothaire, a d’ailleurs désigné la pension comme un exemple de cohésion sociale lors de son inauguration. Très bien situé dans la ville, l’établissement est idéalement intégré dans la « vie de la cité » ainsi, les locataires peuvent accéder à un bon cadre et a une bonne hygiène de vie tout en profitant des animations proposées par le réseau associatif local.
Egalement engagée dans le projet, l’association des Commerçants de Caudéran, qui à l’issue d’une soirée caritative, a remis un chèque de plus de 2000 euros à la Croix Rouge.
Cette pension associe 18 logements privatifs et des espaces collectifs où chacun pourra prendre part à la cuisine, aux tâches ménagères, au jardinage.
A cette occasion une charte partenariale du réseau des maisons relais de Gironde a été également signée.

La pension rue Galilée

Objectifs de la charte :
 simplifier les procédures d’admission pour éviter la mise en « concurrence » des places disponibles
 promouvoir des actions partagées pour améliorer la qualité de l’accompagnement des publics par une offre de service adaptée et diversifiée
 mutualiser des moyens humains et financiers pour porter ces actions et engager des recherches de financement adaptées
 soutenir les équipes de permanents par la mise en commun des outils et des pratiques.
Cette initiative s’inscrit donc dans la volonté de la ville de Caudéran d’aider et de soutenir les personne en grande précarité, on se souvient que la ville avait l’année dernière hébergé une trentaine de migrants dans des bungalows.