Rugby

Il faut que le championnat reprenne même dans des conditions difficiles, ce qui arrive au Stade Français peut arriver peut être à l’UBB et si Christophe Urios considère que l’équipe qui n’est pas capable d’aligner 25 joueurs doit avoir match perdu comme en Angleterre, ils sont quelques uns à penser de même, mais il ne faut ajouter de la pression à la pression. C’est bien joli de parler de report mais il n’y a plus de dates vraiment disponibles et jouer deux matchs dans la même semaine, gare à la casse. Ainsi Pierre Mignoni propose que l’on soit face à une année exceptionnelle sans descente pour le Top 14 et avec une seule montée pour la pro D2, faisant jouer l’année suivante sur un Top 15 mais pourquoi pas un Top 16, sans aller jusque là, il y a bien eu 56 clubs en National à une époque où le rugby était amateur avec des poules de 8. Les conditions exceptionnelles peuvent peut être permettre de faire des expériences avec l’année suivante un Top 16 avec deux poules de 8 libérant des dates pour les matchs internationaux avec une journée commençant dès le jeudi soir comme cela existe en pro D2 voire le mercredi. Il ne faut pas trop compter sur Jean Castex pour sauver le rugby comme il tente de sauver le spectacle vivant, il y a beucoup plus de voix à la clé. C’est peut être le moment de se montrer innovant pour relancer un sport qui en a bien besoin avec certains errements de la FFR et des positions pas toujours très compréhensibles de la LNR sans parler des conflits entre les deux structures. L’heure ne semble pas trop à la polémique mais plutôt à faire travailler les cerveaux pour sauver un rugby professionnel qui traverse une crise majeure avec la Covid-19.
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