Lormont
Mardi 9 novembre dernier, Patrice Pichet (Président – directeur général du groupe Pichet) et Jean-Baptiste Desanlis (directeur général de Clairsienne) ont posé la première pierre de leurs projets respectifs dans le cadre du nouveau quartier de Lissandre à Lormont, en présence de Jean Touzeau (maire de Lormont). Au programme : la construction au pied du coteau lormontais de 326 logements à l’horizon 2023 – 2024.
Au pied du coteau lormontais, les Passerelles de Garonne accueillent deux nouveaux programmes immobiliers. Après les 120 premiers logements livrés ces derniers mois, Patrice Pichet, PDG de la société de promotion immobilière éponyme, et Jean-Baptiste Desanlis, DG de l’Entreprise Sociale pour l’Habitat Clairsienne, ont lancé mardi 9 novembre le chantier du nouveau quartier de Lissandre à Lormont. L’objectif est de sortir de terre 326 logements pour 2023-2024. Pour un total de 600 logements d’ici 2025.
86 logements sociaux et 240 appartements
Le projet de l’îlot Clairsienne des « Berges de Lissandre », conçu par l’agence d’architecture Chavannes et associés est déjà démarré. Les 86 logements sociaux, répartis sur deux bâtiments, proposeront aux résidents 101 places de stationnement et un jardin collectif de 600 m2. Un investissement de 17 millions d’euros pour le bailleur. La livraison est prévue en juin 2023.
Patrice Pichet et ses collaborateurs ont également avancé sur une partie importante du quartier : 240 logements allant du T1 au T5, dont 73 réservés à des étudiants, avec 3 500 m2 de cœurs d’îlot partagés. Les trois bâtiments dessinés par le cabinet d’architecture Advento se dresseront sur 4 étages avec une partie de logements sur le toit. De plus, les habitants pourront librement profiter d’une aire de jeux pour enfants, d’une serre partagée et de composteurs. L’ouverture des portes est prévue en 2024.
Redynamiser la rive droite de la métropole de Bordeaux
Ce projet immobilier a pour vocation de valoriser l’environnement du quartier. « 1,3 hectare de respiration a été programmé. Nous avons acheté un site enclavé, bordé par la LGV et inondable. Nous allons pourtant en faire un quartier aux habitats divers, où il fait bon-vivre et avec des accès facilités (bus express, piste cyclable, téléphérique…) » précise le directeur général de Clairsienne,
Les deux acteurs ont anticipé la proximité avec la voie ferrée. « Les pièges à sons et le renforcement des façades exposées feront en sorte que les nuisances sonores n’existeront pratiquement pas », assurait Patrice Pichet. Mur antibruit, coursive et façades renforcées devront remplir leur rôle. Et de terminer, « le siège de groupe Pichet est en bordure de rocade et on n’entend rien ».
Ecrit par La rédaction