Bordeaux
Un professeur du CHU de Bordeaux et du CHU de Toulouse ont mené une étude publiée le 3 avril portant sur l’efficacité de la molécule lixisénatide dans le ralentissement des effets de la maladie de Parkinson. Une bonne nouvelle qui accompagne la journée mondiale de la maladie de Parkinson.
Les résultats d’une étude menée par Wassilios Meissner, professeur au CHU de Bordeaux, et Olivier Rascol, professeur au CHU de Toulouse, et révélés le 3 avril 2024 par le New England Journal of Medicine soutient que la molécule lixisénatide pourrait ralentir la progression de certains symptômes de la maladie de Parkinson.
« On s’est aperçus que les diabétiques avaient un risque plus important que les non-diabétiques de développer une maladie de Parkinson et que certains diabétiques qui prenaient un certain type de médicament contre le diabète : les agonistes GLP-1, dont fait partie le lixisénatide, avaient un risque moindre de Parkinson. », déclarait dans les colonnes du New England Journal Of Medecine Olivier Rascol.
Ecrit par Antonin Besnard